

Aujourd’hui, si la tendance de fond est le passage du on-premise vers le cloud, encore beaucoup de professions médicales restent sur le mode licence. Jugé moins cher, plus sécuritaire, plus facile à mettre en place, le on-premise n’a pourtant rien à envier aux solutions cloud pour votre centre de santé. Prix, vulnérabilité, personnalisation… On passe en revue 5 idées reçues sur le on-premise et le cloud avant que vous choisissiez votre logiciel médical.
1. Le cloud coûte cher…
FAUX !
Pour une vision réelle sur le prix de votre logiciel médical, comparons ce qui est comparable. Une solution on-premise paraît moins coûteuse au premier abord. Mais les coûts humains et de maintenance sont souvent négligés lorsque l’on considère les deux logiciels dans leur globalité. Avec le on-premise, il faut ajouter au tarif d’acquisition de la licence le coût des serveurs qui vous permettront d’accéder à votre outil, la maintenance des logiciels - qu’elle soit opérée par un prestataire externe ou par votre équipe qui devra alors être formée -, le tarif des outils dits “middleware” comme les bases de données qui demandent des compétences spécifiques et onéreuses etc.
Avec le cloud, un abonnement continu vous garantit qu’il n’y aura ni rupture ni augmentation des coûts en cas de mise à jour de la solution, d’ajouts de nouveaux modules ou de maintenance. Les outils Saas par abonnement sont devenus la norme justement parce qu’ils permettent stabilité économique et sérénité au quotidien dans votre centre médical.
2. Le on-premise est plus sûr…
FAUX !
La donnée est un élément primordial de votre centre de santé. Si elle est perdue ou subtilisée, votre activité peut tout simplement s’arrêter. Or les logiciels on-premise présentent de vraies vulnérabilités sur les sujets de sécurité. Par exemple, les sauvegardes sont à programmer et il existe un vrai risque de perdre la donnée en cas de crash du serveur si des sauvegardes ne sont pas régulières. Elles doivent également être testées mais souvent cette étape est omise.
Une solution cloud permet un transfert de la responsabilité de sécurité sur votre hébergeur. Le cadre d’hébergement de données de santé implique une traçabilité très forte pour éviter les attaques et malveillances dont les centres médicaux et hôpitaux sont de plus en plus les cibles privilégiées. Avec le cloud, c’est aussi la garantie de sauvegardes automatiques, régulières et testées, avec des réplications de données pour ne jamais freiner votre activité.
[Article sur le même sujet] Les 5 règles à connaitre concernant l'hébergement de donnée de santé. |
3. Le cloud pose des problèmes de disponibilité…
FAUX !
Si les solutions hébergées sur le cloud sont effectivement dépendantes d’une connexion internet stable, elles n’en sont pas moins disponibles, surtout en mobilité. En effet, les outils Saas sont des outils nomades par excellence, qui permettent une accessibilité partout, tout le temps. Dans le cas d’un arrachage de fibre optique durant des travaux ou de rupture de connexion durable par exemple, les opérateurs téléphoniques sont aujourd’hui très réactifs et aux côtés des entreprises pour éviter la suspension des activités.
4. Le cloud est moins flexible et personnalisable…
FAUX !
Contrairement à ce que l’on pense, un ERP de santé en cloud est extrêmement paramétrable car très riche de fonctionnalités. Parce qu’il est en constant développement avec des mises à jour automatiques, il permet de répondre de façon très précise aux besoins clients. Les logiciels on-premise nécessitent d’être installés directement sur les postes de travail de votre structure et toute mise à jour sera coûteuse en temps et en argent.
La force du cloud, c’est aussi la possibilité d’interconnexion avec d’autres services et partenaires essentiels à votre métier. En plus de la gestion de vos devis et factures, vous et vos équipes devez avoir accès à un agenda médical avec prise de rendez-vous en direct, à un service de tiers payant, à des bases de données médicaments etc. Les logiciels sont très fermés à l’interconnexion via API avec d’autres outils, à l’inverse du cloud qui présente ainsi une solution beaucoup plus complète.
5. Le on-premise, c’est plus simple à mettre en place…
FAUX !
Lorsque vous optez pour une solution on-premise dans votre centre de santé, plusieurs étapes peuvent ralentir votre démarrage :- la comparaison et l’achat de serveurs ;
- l’installation d’outils complémentaires pour faire fonctionner votre logiciel médical ;
- l’installation technique de la solution sur vos différents postes de travail ;
- la formation de vos équipes ;
- la mobilisation de compétences humaines pour la maintenance et les sauvegardes indispensables.
Côté cloud, une simple URL dans un navigateur permet d’accéder à la solution sur n’importe quel poste de travail, en vous munissant d’accès sécurisés et personnels. Aucun serveur ni outil supplémentaire n’est requis pour faire fonctionner votre logiciel de santé et vos équipes peuvent directement prendre en main le logiciel grâce à une interface ergonomique et orientée utilisateur.
Voici 5 idées à retenir sur le cloud, plus avantageux qu’une solution on-premise, avant de choisir votre logiciel médical :
- Le cloud ne coûte pas plus cher qu’un mode licence. Hébergement, maintenance, mises à jour… l’abonnement est tout compris !
- Le cloud est plus sécurisé : il évite d’éventuelles pertes de données en se pliant à un cadre HDS très normé et transfère la responsabilité sur l’hébergeur.
- Le cloud est la solution mobile par excellence.
- Le cloud favorise la personnalisation et l’adaptation au plus près de votre activité, tout en s’interconnectant avec des partenaires essentiels.
- Le cloud est rapide et facile à mettre en place, tant techniquement que dans la prise en main par vos équipes.
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